Carnet de deuil : Jean Fauville

Membre de la section UNP de Dreux,BP 201978, ancien président de la section de Saint Germain-en-Yvelines, Jean Fauville est décédé à l’âge de 80 ans le 5 octobre et a été incinéré le 10octobre.

Originaire des Ardennes, chef de bataillon en retraite, retiré à Flins-sur-Seine, ilavait servi pendant 26 ans dont 15 au 1e RPIma à Bayonne. Il comptait de nombreusescampagnes outre-mer à son actif.

Il était notamment chevalier dans l’Ordre National duMérite, décoré du titre de Reconnaissance de la Nation et de la Médaille d’Outre-Mer(Tchad). A ses enfants Olivier, Corinne, Laure, nous adressons nos bien sincères
condoléances.

Article de notre camarade Michel Marneur

11 novembre : les paras rendent hommage aux morts de 1914-18

Conduits par leur président Bertrand Deygas, les paras de la section de Dreux se sont retrouvés en nombre, ce 11 novembre à Dreux pour honorer la mémoire des 1.400.000 morts français pendant ces quatre années et demi de la première guerre mondiale.

Après une messe célébrée en l’église Saint-Pierre, ils ont participé à la cérémonie du souvenir au monument aux morts en présence du maire, Pierre Frédéric Billet, du sous-préfet Xavier Luquet, du député Olivier Marleix et de Jacques Lemare, conseiller départemental.

Pour mémoire, rappelons que le 101 ème régiment de Ligne de Dreux a perdu 1.100 soldats sur un effectif de 1329 d’hommes lors de la bataille d’Ethe Virton (Belgique) le 22 août 1914. Cette journée a été la plus noire de l’histoire de l’armée Française qui a perdu en cette seule journée 27.000 soldats.

Les paras ont interprété La Marseillaise. Une seconde délégation conduite par Lucien Beaupuits, vice-président, participait à Tréon à une cérémonie d’hommage et du souvenir à l’invitation du maire Christian Berthelier.

A Dreux, la section s’est retrouvée pour le verre de l’amitié au café-tabac de la rue d’Orfeuil tenu par notre camarade Paul, ancien légionnaire membre adhérent et sa charmante épouse.

Article de notre camarade Michel Marneur
Photos Dreux : Isabelle Garnier

Sorel-Moussel :un très bel hommage aux paras tués au Drakkar

Fidèles à la mémoire des 58 parachutistes des 1 er et 9 ème R.C.P. morts sous les décombres de l’hôtel Drakkar à Beyrouth le 23 octobre 1983, suite à un attentat meurtrier, les parachutistes de la section UNP 281 de Dreux se sont réunis derrière leur président Bertrand Deygas.

Ils ont commémoré le souvenir de nos camarades tombés en mission de paix pour l’ONU. D’abord, au monument aux morts, le premier rassemblement a eu lieu. Le nom de chaque para tué pour la France a été cité.

Le président a ensuite fleuri le monument avec Gilles de la Batie, en la présence du maire Gilbert Galland et d’un adjoint. Toujours aussi fidèles à notre rendez- vous annuel, Olivier Marleix, député, et la famille De La Batie étaient présents.

Cette cérémonie a été accompagnée par une sonnerie de clairon de Bernard Caurat et le battement d’un tambour tenu par Gérard Eiselé, chef de chœur.

L’ensemble a chanté « la Marseillaise » et le chant de circonstance « Ceux du Liban ». Les paras ont ensuite défilé en cortège au cimetière pour se recueillir devant la tombe du lieutenant Antoine de La Batie, dont la section porte le nom. Deux chants y ont été interprétés : « La prière du Para et J’avais un camarade ».

Des rafraichissements ont ensuite servis sous un petit barnum installé sur
l’Esplanade du Souvenir Français à la trentaine de participants. Tous se sont retrouvés dans une ambiance très conviviale et chaleureuse pour partager un excellent repas à l’Auberge ferme de la Côte blanche à Ezy-sur-Eure. Les chants de tradition ont bien entendu accompagné ce bon moment de camaraderie.

Le fleurissement des tombes des anciens parachutistes se déroulera le Samedi 29 octobre dans les cimetières de l’arrondissement de Dreux.

Article :
Michel Marneur
Crédits photos: Isabelle Garnier

Méssage du Général AR Bruno DARY

Et, par Saint-Michel, vive les Paras !

Ce jeudi 29 septembre 2022, dans de nombreuses familles comme dans beaucoup de bureaux, chacun veillera à souhaiter une joyeuse fête aux personnes qui s’appellent Michel – ou Michèle – car le calendrier officiel précise que c’est le jour de la Saint-Michel. Et « que l’on croit au Ciel, ou que l’on n’y croit pas », il ne viendrait à personne l’idée de modifier ce calendrier, car cette fête, que d’aucuns peuvent appeler une coutume laïque, une habitude amicale ou une tradition religieuse, appartient au patrimoine culturel français et ne dérange vraiment personne !

Pourtant, alors que la Saint-Michel sera fêtée tranquillement un peu partout en France, une statue représentant l’archange Saint-Michel suscite une polémique aux Sables d’Olonne : une large partie de la population, qui soutient le maire, souhaite son maintien ; et un petit groupe de personnes de l’association des libres penseurs, au nom d’une conception étroite de la laïcité, demande à ce qu’elle soit tout simplement retirée ! Faisons confiance à la justice de notre pays, qui juge « au nom du peuple français » ; en effet, le maire a organisé une votation locale, qui a très largement plébicité le maintien de cette statue dans son quartier éponyme, et, en l’occurrence, le peuple de France est d’abord ceux qui sont concernés, à savoir la population de la ville !

Mais il est quand même surprenant qu’une simple statue dans une ville qui n’est pas une préfecture, suscite une telle polémique ! A la limite entre la Bretagne et la Normandie, le Mont Saint-Michel domine toute la baie, et reste visité par plusieurs centaines de milliers de personnes chaque année, sans que personne ne remette en question son nom ou la statue qui trône à son sommet ! A Paris, au cœur du 5° arrondissement, une fontaine porte le même nom et on ne compte pas les étudiants ou les touristes qui sont heureux de se faire photographier devant ! Pas très loin des Sables d’Olonne, une petite ville du bord de mer s’appelle Saint-Michel-Chef-Chef, sans que sa population n’en soit offusquée ! Et enfin, dans les armées, Saint-Michel sera aussi fêté dans les formations parachutistes, puisque depuis leur création, voici quelque 75 ans, Saint-Michel, image dans la Bible de l’intervention venue du ciel, a été choisi comme « patron des paras » ! Il s’agit d’un moment de réjouissance important, qui participe largement à l’esprit des parachutistes, sans que personne n’y trouve à redire, bien au contraire !

A cet égard, dans la période agitée que nous vivons, les armées doivent pouvoir servir d’exemple comme d’ailleurs dans d’autres domaines car de nombreux saints sont régulièrement honorés et de telles polémiques ne voient pas le jour, car nos forces vivent une « laïcité apaisée ».

Au sein des armées, en effet, une distinction s’est faite naturellement entre le « culturel » et le « cultuel ». Le domaine culturel est très large et ne couvre pas simplement l’histoire militaire et les traditions ; comme dans le pays, il intègre des notions aussi fondamentales et concrètes, que le respect de la personne, la manière de vivre, l’exemplarité du comportement individuel, la priorité donnée à la mission, le goût du travail bien fait ; il comprend aussi des domaines plus militaires, comme la disponibilité, la fraternité d’armes et la maitrise de la force. En un mot, tout ce qui peut permettre de créer une vraie communauté, où chacun se sent bien et où il fait bon vivre. Le domaine cultuel est bien plus personnel et relève de la vie privée, voire de l’intimité de chacun ; dans ses
implications pratiques et quotidiennes, il ne peut empiéter sur le domaine culturel, la vie de la formation ou simplement le service quotidien ! Mais il mérite aussi toute sa dimension et tout son respect, en raison de la spécificité militaire, car lorsque l’on est amené à conduire des soldats à risquer leur vie en opérations, on ne peut leur refuser de croire qu’il existe un autre monde après la mort….. et la dimension religieuse trouve une dimension particulière !

Il est vrai que nous vivons dans un pays de tradition et de culture judéo-chrétienne, ce qui facilite la complémentarité de ces deux dimensions : on retrouve, par exemple, cette complémentarité dans le calendrier, puisque les fêtes sont respectées, et de façon différentes : les journées nationales,
comme le 8 mai, le 14 juillet ou le 11 novembre ; les fêtes fixées par le calendrier, comme Noël, le jour de l’An, Pâques, ou la Pentecôte ; puis les anniversaires plus particuliers, comme des batailles restées célèbres dans l’histoire de la formation, Camerone pour la Légion ou Bazeilles pour les Troupes de Marine ; et enfin, la fête de son saint patron, en l’occurrence la Saint Michel pour les
paras. Si le programme de l’unité ou les contraintes opérationnelles le permettent, la Saint-Michel est fêtée le 29 septembre, sinon, elle le sera de façon décalée, ce qui ne pose pas de problème. Et elle se traduit de façon différente au sein de chaque formation : challenge sportif ; cérémonie
militaire ; repas pris en commun ; accueil des anciens ; office religieux …. Le but de ces activités est bien de favoriser ou de renforcer l’esprit de corps du régiment ou de la formation, qui veille chaque année à honorer son saint patron ! La Saint-Michel est ainsi une opportunité de rappeler la fierté de
ses membres d’appartenir à une telle communauté. Et de même que la France peut être fière de ses armées, elle peut aussi s’enorgueillir que les armées de la République fêtent leur saint patron, dans un esprit laïc simple et apaisé !

Gageons qu’en cette journée, ils seront nombreux une fois encore, à s’écrier avec force :

                                    « Et, par Saint-Michel, vive les paras ! »

GAR(2s) Bruno DARY

Une fête de saint Michel réussie pour la section de Dreux

La section 281 de Dreux a fêté dignement la saint Michel le samedi 17 septembre à Chêne-Chenu, une petite commune où réside l’un de nos adhérents, Daniel Berteaux.

Ce dernier avait tout mis en œuvre pour la réussite de ce grand rendez-vous annuel. Sous la présidence de Bertrand Deygas, les participants se sont d’abord rendus au monument aux morts près de l’église pour rendre les honneurs au drapeau et hommage aux soldats tués lors des dernières guerres.

Sous la direction du chef de chœur des parachutistes UNP Centre, Gérard Eiselé, le chant de la « Marseillaise » a été parfaitement interprété. Au clairon, Bernard Caura a offert la sonnerie aux morts.

Puis la tombe d’un soldat mort pour la France en Indochine le 16 juin 1940, Serge Dupuit, a été fleurie. Les paras ont chanté « Le combat de Tu-Lé » avant de se retrouver à la salle des fêtes où un excellent méchoui préparé par Daniel Berteaux avec l’aide de plusieurs camarades a été servi.

L’ambiance accompagnée comme il se soit par des chants parachutistes a étés chaleureuse et très conviviale.

Article de notre camarade Michel Marneur
Credit photos: Isabelle Garnier

Communication du président national Saint Michel 2022

Nous voici tous rassemblés en présence ou par la pensée pour, comme chaque année, célébrer Saint-Michel notre saint patron, et ainsi fortifier notre cohésion et notre esprit de parachutistes.

Partout en France et à travers le monde, tous ceux qui ont passé la portière attendent cette période de l’année pour retrouver l’amitié des copains, évoquer le sacrifice de ceux qui nous ont précédé, se remémorer les bons souvenirs partagés ainsi que les moments douloureux subis. À travers cette démarche annuelle, nous savons que nous allons retrouver la force et la foi qui nous avaient fait choisir le béret rouge, bleu ou vert des parachutistes.

Cette force et cette foi sont nécessaires car, en dépit des efforts consentis depuis 70 ans pour gagner et préserver la paix, notre époque demeure difficile. La guerre a repris aux portes de l’Europe, l’impérialisme islamiste poursuit son extension en Afrique et en Orient tout en gardant l’Europe et particulièrement la France comme cibles pour ses prochaines exactions. Bien des pays donnent la priorité à la force sur le droit et, renforçant sans cesse leur potentiel militaire, veulent changer l’équilibre du monde, la nature elle-même évolue, avec des conditions climatiques changeantes aux conséquences futures dramatiques génératrices de graves bouleversements et de tensions entre les pays et les peuples. Voilà bien de quoi être triste et abattu.

Mais le parachutiste est gai et combatif. Notre pays sait réagir face aux menaces et nos jeunes parachutistes sont en pointe comme ils l’ont montré récemment en Afrique et en Europe. Ils sont aussi présents au Sahel en portant des coups décisifs à l’adversaire et en contenant la pression islamiste. Depuis plusieurs années le commandement a bien appréhendé les évolutions en cours de ce monde et entamé la transformation et le durcissement de nos armées y compris les unités légères de parachutistes, qui toutes, sans cesse s’adaptent pour pouvoir remplir leur mission de protection des Français et de leurs intérêts.

Et l’UNP, unissant anciens et jeunes, veut et sait entretenir et préserver l’esprit de sacrifice pour la patrie, de solidarité entre les générations, d’entraide pour ceux des siens qui ont souffert ou souffrent encore au nom de notre pays. C’est pourquoi la Saint-Michel est si importante pour nous, car elle nous permet de nous ressourcer, de retrouver l’enthousiasme et le dynamisme qui permettront à notre association de rayonner, d’agir et ainsi de contribuer au renforcement de notre patrie, et à la pérennité de nos valeurs et de nos traditions, à la sensibilisation de nos compatriotes aux nécessaires efforts pour retrouver une plus grande cohésion nationale.

Alors à tous, en métropole dans nos départements, territoires ou collectivités outre-mer, à l’étranger, que cette Saint-Michel 2022 soit belle, fière et heureuse ! N’oublions pas tous nos camarades isolés, malades, qui méritent notre soutien. Soyons une source d’espérance pour nos jeunes parachutistes en opérations qui voient leurs anciens prendre leur part sur la piste sans fin du service de la patrie.Et entraînons avec nous dans l’effort et l’espoir tous nos compatriotes inquiets et en proie au doute dans cette période troublée. La foi du para doit se propager et l’emporter !

Et par Saint-Michel, vivent les paras !

Général (2S) Patrice CAILLE

Hommage au général Bigeard

Ce samedi 18 juin, une quinzaine de membres de la section UNP de Dreux « Lieutenant Antoine de La Batie » conduite par Lucien Beaupuits, vice-président, a participé à la cérémonie commémorant l’Appel du général de Gaulle du 18 juin 1940 refusant l’occupation allemande de la France à la stèle installée dans le parc de La République, devant la sous- préfecture de Dreux.

Les paras se sont ensuite rendus en haut de la rue du général Bigeard lui rendre hommage à l’occasion de l’anniversaire de sa mort le 18 juin 2010. Cette
cérémonie s’est déroulée sans incidents dans le calme et le recueillement.

Elle a été rehaussée par les chants de La Marseillaise, Etre et Durer (chant du 3 ème RpiMa), Le Commando Cobra (le chant des Marais), Les Hussards de Bercheny du 1 er RHP et Saint-Michel est de la fête, ancien chant parachutiste de la guerre d’Indochine.

Article de notre camarade Michel Marneur
Crédit photos: Isabelle Garnier

Le chœur régional Centre des Parachutistes a chanté à la Cathédrale de Chartres

La section des Médaillés Militaires d’Eure-et-Loir a fêté ce samedi 11 juin le 170éme anniversaire de la création de cette haute distinction nationale par l’empereur Napoléon III.

Crédit photo :https://www.le-revers-de-la-medaille.fr


Cette médaille est destinée à honorer les sous-officiers de l’armée française. Une messe a été célébrée à 18 h par Mgr Antoine de Romanet de Beaune, évêque aux armées assisté par le père Henri Blondeau, recteur de la cathédrale Notre-Dame de Chartres.

A l’invitation du président des Médaillés Militaires, le chœur régional Centre des Parachutistes dirigé par Gérard Eiselé, fort de 30 chanteurs venus de Dreux, Chartres, Orléans, Blois et Paris a eu la fierté de se produire dans ce haut lieu de la chrétienté. Il a animé et rehaussé magistralement la cérémonie religieuse par ses chants de la messe parachutiste.

L‘assistance nombreuse composée non seulement des fidèles habitués mais aussi de pèlerins et de touristes étrangers a été impressionnée par la qualité de l’interprétation de cette prestation. Cette dernière a permis de rehausser l’image des parachutistes en général et celle de l’Union Nationale des Parachutistes plus particulièrement.

Elle a reçu de nombreux compliments et remerciements dont ceux de Philippe Oudard et de Mgr de Romanet. Un buffet généreux et bien garni a permis de clore dans l’amitié cette belle journée. La section UNP de Dreux était conduite par son président Bertrand Deygas qui n’a pas manqué de remercier tous les participants.

Article de notre camarade Michel Marneur
Crédit photos : Isabelle Garnier

La section de Dreux présente au congrès de Carcassonne

La pandémie du Covid avait empêché l‘Union nationale des Parachutistes de tenir ces deux dernières années son congrès national. Celui qui a pu enfin avoir lieu les 20 et 21 mai à Carcassonne a été une réussite, l’un des meilleurs après celui d’Annecy.

La section de Dreux conduite par son président Bertrand Deygas y était représentée par 18 participants avec Gérard Palais, ancien président resté membre de Dreux et son épouse Anne-Marie venus de Bretagne. La délégation emmenée à bord de deux minibus a fait un détour à l’aller rendre visite à notre adhérent, Simon Marie, ancien d’Indochine et son épouse à La Primaube (Aveyron).

L’accueil a été très chaleureux et a laissé de bons souvenirs de notre grand ancien lui-même ravi de cette visite. 700 parachutistes venus des sections de toute la France ont participé à ce congrès parfaitement organisé par la section de l’Aude avec le concours et l’appui des anciens du 3 ème RpiMa et les parachutistes d’active du régiment.

Seule ombre au tableau : les sauts qui devaient être effectués par les chuteurs du 3 sur le terrain de sport de la caserne Laperrine ont dû être annulés en raison d’un vent très fort.

Les congressistes ont eu le plaisir de retrouver sur place les pères Lallemand et Kalka, aumôniers militaires chez les paras et à la Légion qui ont dit un office religieux le samedi matin.

Article de notre Camarade Michel Marneur.

Crédit photos: Isabelle Garnier

Communiqué du général Caille président de l’UNP nationale

Chers amis paras de l’UNP,

Le week-end dernier a concrétisé pour l’UNP la reprise de son dynamisme et de ses activités avecl’excellent déroulement du congrès national à Carcassonne.Ce grand rendez-vous annuel a été une réussite totale :

• Une assemblée générale nombreuse où tous les aspects de la vie de l’UNP ont été abordés,permettant de constater la bonne santé de notre association ;

• Environ 500 paras regroupés pour assister à une messe concélébrée par les pèresLALLEMAND et KALKA, ces deux aumôniers de choc qui nous sont si chers. Nous avonsparticulièrement apprécié les paroles fortes du Père LALLEMAND nous rappelant certainesvérités et nous appelant à retrouver et conforter les pistes de la solidarité et de l’attachementaux valeurs qui font la force d’une société ;

• Près de 700 paras dont plus de 50 porte-drapeaux présents sur les rangs d’une cérémoniepleine de rigueur et d’allure dans la caserne du 3ème RPIMa ;• Plus de 800 convives dans la salle du DÔME pour apprécier au cours des trois repas de ceweek-end des prestations de qualité et en particulier la spécialité locale : le cassoulet.

• Une ambiance fraternelle, familiale, festive permettant de nombreuses retrouvailles, et unejoie d’être ensemble qui s’est manifestée par des danses endiablées, ce qui n’était pas arrivédepuis longtemps.Quelle association spécifique du monde combattant est capable d’un tel bilan ?

Tout ceci est le résultat d’un travail organisé, méticuleux, rigoureux et imaginatif mené par la sectionUNP de l’AUDE sous la direction de Serge TOCCHETTO, avec l’aide de l’amicale du 3èmeRPIMa, et de la base arrière de ce régiment. Qu’ils soient tous et toutes chaleureusement remerciéspour leur engagement, leur dévouement qui ont permis ce résultat exceptionnel, lequel a redonnéenthousiasme et fierté d’appartenir à l’UNP à chacun d’entre nous.

Bravo à tous ceux de noscamarades qui ont fait le déplacement quelque fois de très loin, leur chaleureuse présence est lapreuve de notre vitalité.Maintenant, comme toujours, il nous faut regarder devant et penser au congrès 2023. Celui-ci sedéroulera à CAYLUS, sur les terres du Centre de Formation Initiale Militaire – 6ème RPIMa, creuset de tous les engagés parachutistes (hors légion) de la 11e Brigade Parachutiste.Ce choix est symbolique du lien qui doit exister entre jeunes et anciens parachutistes.

La mise enœuvre sera certes certainement plus compliquée qu’à Carcassonne en raison de l’absence d’unesection UNP sur le lieu même du congrès, mais je compte sur un appui volontaire et adapté auxpossibilités de chacune des sections de la région et de l’amicale de ce régiment.

Continuons donc ensemble à œuvrer pour l’efficacité et le renom de l’UNP, avec toujours lasolidarité comme priorité.

Général (2S) Patrice CAILLE